Vous prévoyez un grand roadtrip en Nouvelle-Zélande ? Dans cet article, je partage tous mes conseils et mon itinéraire (en voiture de location) sur 5 semaines, à travers l’île du Nord et l’île du Sud. Si vous avez moins de temps, je vous propose mes suggestions d’itinéraires sur 2, 3 ou 4 semaines, basés sur les activités et les endroits que j’ai préféré visiter. Côté pratique, vous trouverez également dans cet article toutes les choses que vous devez savoir pour préparer au mieux votre voyage en Nouvelle-Zélande : comment ne pas avoir de problème avec la voiture de location, quelle carte SIM choisir pour son téléphone, les formalités à faire avant de partir…
Cet article vient compléter mes carnets de voyage détaillés publiés sur chacune des destinations néo-zélandaises découvertes lors de ce voyage, d’Auckland à Queenstown en passant par Rotorua, Abel Tasman, Wanaka, Milford Sound, Lake Tekapo et bien d’autres. Pour continuer la lecture, j’indiquerai également les liens vers tous mes autres articles écrits sur la Nouvelle-Zélande, soit plus de 30 articles ! Bref, un véritable guide de voyage en Nouvelle-Zélande, qui pourra je l’espère vous aider dans vos préparatifs.
Disclaimer : cet article peut contenir des liens affiliés. En réservant via ceux-ci, vous ne payerez pas plus cher mais je toucherai une petite commission qui me permettra de continuer à développer ce blog.
La Nouvelle-Zélande en pratique
Je vais commencer par répondre aux questions qu’on m’a le plus posées depuis notre voyage en Nouvelle-Zélande !
Quelle est la meilleure période pour visiter la Nouvelle-Zélande ?
L’hiver austral est notre été, et inversément l’été austral correspond à la période hivernale en Europe. La Nouvelle-Zélande ayant un climat qui peut être changeant, les meilleurs mois pour explorer le pays en mettant toutes les chances de son côté sont décembre, janvier et février.
Cependant, des locaux nous ont dit qu’ils remarquaient que l’été arrivait de plus en plus tard et que les saisons sont beaucoup moins marquées qu’avant ces dernières années. On a pu le remarquer lors de notre voyage. Bref, la météo en Nouvelle-Zélande, ça reste quand même un coup de chance !
Combien de temps prévoir en Nouvelle-Zélande ?
Est-ce que ça vaut le coup de partir à l’autre bout du monde et d’enchaîner deux vols long courrier pour passer une semaine sur place ? Personnellement, je ne pense pas ! Quitte à partir aussi loin, nous voulions le rentabiliser avec un long voyage : c’est pourquoi nous avons choisi de partir 5 semaines. Notre plus long voyage jusqu’à présent !
Il n’est pas nécessaire de partir aussi longtemps que nous l’avons fait. Je conseillerais cependant un minimum de 3 semaines pour parcourir les deux îles. Si vous n’avez que 2 semaines, je vous recommanderais de vous concentrer sur une seule île. Laquelle ? Ca dépend vraiment de vos centres d’intérêt ! Si vous aimez la nature et les longues randonnées, plutôt l’île du Sud. Si vous préférez des activités plus variées, plutôt l’île du Nord.
A partir de 20 jours, vous trouverez de chouettes itinéraires en petits groupes (avec pas mal de marche) sur Atalante (spécialiste du voyage d’aventure), si vous préférez vous laisser porter.
Quel guide de voyage pour la Nouvelle-Zélande ?
Je tiens à préciser que j’avais acheté de nombreux guides de voyages pour préparer ce roadtrip en Nouvelle-Zélande (honnêtement, je n’en avais jamais acheté autant !) mais finalement, le seul qu’on a (beaucoup) utilisé pour notre itinéraire final n’est pas un guide traditionnel mais un guide unique fait par un guide local passionné (qui nous avait été recommandé par une amie qui l’avait également utilisé) : le NZ Frenzy North Island (et le South Island pour l’autre partie du voyage). Malheureusement, il n’a plus été mis à jour depuis longtemps et c’est devenu un peu compliqué de se le procurer.
J’ai vraiment été assez déçue des autres guides que j’ai acheté, que je n’ai pas trouvé pratique à utiliser, et faussement complet. Je parle notamment du Rough Guide (trop d’informations inutiles, et à la fois certains trucs pratiques manquent) et je n’ai pas du tout aimé le Lonely Planet (et c’était bien la première fois que ça m’arrivait).
Roadtrip Nouvelle-Zélande : voiture de location ou camper van ?
La question du choix entre une voiture de location et un camper van pour notre road-trip en Nouvelle-Zélande ne s’est que très peu posée en ce qui nous concerne, car je suis une amoureuse des hôtels… Impossible pour moi d’envisager un voyage en Nouvelle-Zélande sans en tester ! Mais je comprends très bien que, pour les plus petits budgets, vous pouvez vous poser la question.
Il y a cependant deux choses à prendre en considération avec les camper vans :
- ce n’est pas forcément moins cher : les prix à la location sont beaucoup plus élevés qu’une voiture de location classique, surtout en haute saison, et les emplacements où vous pouvez légalement passer la nuit sont souvent payants.
- ça limite votre accès à certains endroits, déjà difficilement accessibles en voiture. Certaines routes populaires sont à déconseiller totalement aux camper vans (même si on en voit toujours qui passent quand même !), je pense notamment au French Pass ou aux routes secondaires de la Péninsule de Banks. Même si vous vous sentez à l’aise, vous mettez aussi les autres en danger dans les routes à pic avec de nombreux tournants et aucune possibilité pour se croiser parfois sur de très longs tronçons. N’oubliez pas que les « routes néo-zélandaises sont différentes » (on y reviendra).
Bien sur, avec une voiture, il vous faudra prévoir vos déplacements à l’avance, et cela pourra être un peu plus dur d’adapter son itinéraire en fonction de la météo puisque, en haute saison, il faut réserver les hôtels avec pas mal d’avance dans les endroits les plus touristiques.
L’un dans l’autre, je ne regrette pas du tout d’avoir découvert la Nouvelle-Zélande en voiture et ça correspondait bien à mes attentes.
Quel que soit votre choix, évaluez-bien les différentes compagnies de location possibles avant d’en choisir un (en utilisant un site tel que Rentalcars.com). Au niveau des prix, les moins chères seront les compagnies qui ont une option de location de voitures plus anciennes (comprendre, quelques années de plus que la normale pour des voitures de location).
On a choisi cette option chez Ace Rental, et même si on a eu un bon prix, vous avez clairement ce pour quoi vous payer. Après quelques jours seulement, on est tombé en panne et on a du faire changer la batterie de la voiture… Le dépanneur nous a dit qu’elle était hyper vieille et aurait du être changée depuis très longtemps. Pas top ! Heureusement, on avait (comme toujours) pris une assurance complète sans franchise qui incluait aussi le dépannage (on avait pris toutes les options possibles).
Le technicien de AA qui est venu nous dépanner et changer la batterie nous a expliqué qu’il a souvent des dépannages sur les voitures de location « cheap » du style « Ace » et autre. Il nous a expliqué que ce type de compagnie fait une maintenance correcte pour que la voiture n’ait pas de problème grave (et ne provoque pas d’accident qui pourrait se retourner en procès contre eux). Mais que pour ce qui provoque des petites pannes non dangereuses, ils ont tendance à ne pas trop s’en soucier. S’il y a une panne et que le client a pris l’assurance, ça ne leur change pas grand-chose, mais si le client n’a pas d’assurance alors la réparation est à ses frais et eux y gagnent…
Ce sont donc des voitures safe et BEAUCOUP moins chères que les classique Hertz et autre (surtout qu’il n’y a pas la possibilité de changer d’île avec Hertz, il faut 2 locations différentes) mais il vaut mieux se garder un peu de marge au cas où (ça nous a pris 3 heures pour être dépannés) et prendre absolument les assurances complètes.
Conduire en Nouvelle-Zélande : mes conseils
Vous le verrez sur de nombreux panneaux routiers, on ne pourra pas dire qu’on ne vous aura pas prévenu : « NZ roads are different » – les routes néo-zélandaises sont différentes… à comprendre : elles sont plus dangereuses !
Honnêtement, j’ai visité plus de 50 pays et j’ai trouvé les routes de Nouvelle-Zélande parmi les plus dangereuses que j’ai pu voir. Les locaux roulent comme des malades, en essayant de vous entrainer dans leurs vitesses (si vous respectez les vitesses ou moins, ils vous colleront et dépasseront de manière ultra agressive, en risquant inutilement des accidents). Les routes sont globalement en bon état, mais les conducteurs sont le premier danger.
Le second danger sont les routes en elles-mêmes, c’est-à-dire la manière dont elles sont été construites. En pente parfois forte, avec de nombreux tournants qui ne permettent pas de voir ce qui arrive de l’autre côté, avec souvent un gros vide juste sur le bord de la route… Bref, si comme moi vous n’aimez pas trop conduire, il va vraiment vous falloir une grosse période d’adaptation !
La troisième chose à savoir est que de nombreuses routes, comme je l’ai déjà dit, ne sont pas accessibles au camper vans, et il existe aussi beaucoup de route uniquement pour les 4×4. Là aussi, le respect des règles, c’est pas trop ça, donc vous croiserez tout type de voiture partout (je ne pense pas qu’il y ait vraiment de contrôle), mais à nouveau essayez de penser d’abord à votre sécurité… Si ces limitations existent, c’est pour une bonne raison (vraiment).
Enfin, au niveau pratico-pratique pour l’essence, voici ce qu’on a pu remarquer pour payer moins cher :
- dans les supermarchés, vous recevez parfois des vouchers de réduction pour l’essence avec votre ticket de caisse. Gardez-les bien, ça peut vous faire une réduction de 6-10 cents le litre.
- les pompes les moins chères sont globalement les pompes automatiques, où il n’y a pas de magasin (il faut donc obligatoirement payer par carte)
- évitez de faire le plein à l’aéroport.
- Sur l’île du Sud, les pompes les moins chères sont en général NPD (Nelson Petroleum Distribution) et sur l’île du Nord, Waitomo.
La sécurité en Nouvelle-Zélande
La Nouvelle-Zélande est un pays réputé pour sa sécurité mais bien sur le risque 0 n’existe pas. Faites toujours attention à votre sécurité, surtout dans les grandes villes.
Je pense cependant que le risque principal reste le risque de se perdre ou de se retrouver bloqué en randonnée. La Nouvelle-Zélande, ce sont de grandes étendues, et les randonnées ne sont pas comme chez nous, elles sont souvent bien plus difficiles.
Quelques trucs à faire pour éviter les soucis :
- Mémoriser le numéro d’urgence local, le 111
- Partager votre itinéraire avec des proches
- Envoyer votre localisation au numéro 7233 : la police a accès à la base de donnée mais ne l’utilisera qu’en cas de souci. Vous pouvez aussi compléter un formulaire sur le site « Outdoor Intentions ».
En cas de problème, une assurance voyage peut vous être très utile, surtout quand vous vous trouvez à l’autre bout du monde ! Pour partir l’esprit tranquille, je vous conseille les assurances voyage ultra-complètes de Heymondo, disponibles pour un seul voyage (qu’il soit court ou long) ou à l’année (pratique si vous voyagez beaucoup comme moi !). Ils ont une couverture très complète, une application accessible 24h/24h pour vous assister gratuitement et surtout aucune avance à faire en cas de pépin sur place.
Se procurer une carte SIM en Nouvelle-Zélande
Pour une fois, le meilleur endroit pour se procurer une carte SIM néo-zélandaise pour votre téléphone est l’aéroport ! A l’aérport d’Auckland, vous aurez des stands avant le duty free qui vous propose des prix hors taxe. Le mieux est Spark, sinon Vodafone. Niveau couverture réseau, c’est très similaire.
Mais évidemment, dans les coins les plus reculés, le réseau peut être bof au mieux. C’est pourquoi je vous recommande d’utiliser les cartes hors ligne de Mapsme. En plus, elles sont souvent bien plus précises et correctes que Google Maps en Nouvelle-Zélande !
Depuis peu, vous avez aussi des options Esim (cartes SIM virtuelles, ça n’existait pas encore lors de votre voyage). J’ai déjà testé celles de Holafly à plusieurs reprises pour d’autres destinations, et ils couvrent aussi la Nouvelle-Zélande. A présent, je n’utilise plus que ça, c’est tellement pratique !
Argent et paiements en Nouvelle-Zélande
C’est très difficile de vous donner un budget journalier en Nouvelle-Zélande car ça va dépendre du style de voyage que vous choisissez. Mais je pense que (hors prix du vol qui est quoi qu’il arrive un gros coût), on peut voyager en Nouvelle-Zélande pour à peu près tous les budgets. Contrairement à ce qu’on peut penser, c’est loin d’être le pays le plus cher que j’ai vu. Certaines choses sont chères, mais il y a pire.
Pour les retraits d’argents, le mieux pour payer le moins de frais est de retirer votre maximum journalier autorisé (à vérifier auprès de votre banque) avec votre carte de débit (pas crédit) à un ATM d’une banque WestPac, car c’est eux qui prennent la plus petite commission (liste de leurs ATM ici).
Attention : le trou dans la couche d’ozone et les UV en Nouvelle-Zélande
Dernier conseil et pas des moindres : protégez votre peau en Nouvelle-Zélande, plusieurs fois par jour !! Le trou dans la couche d’ozone au dessus de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie fait des ravages. Et bien plus que ce que nous pensions.
Pour vous donner un exemple, le premier jour de notre voyage, comme nous étions en décalage horaire, nous avons commencé notre journée très tôt. On avait oublié de mettre de la crème avant notre première balade vers 8h, mais on s’est dit : c’est pas grave, il est que 8h, on en mettra à notre retour. Je peux vous dire que 30 minutes de balade sans crème solaire entre 8h et 8h30 du matin nous a fait devenir de vraies écrevisses les jours qui ont suivi. On a jamais été aussi brûlés et on s’en est fort voulu. Ne faites pas la même erreur que nous !
Après cet accident, on a tout de suite cherché un moyen de ne plus se faire avoir. On a téléchargé l’application UVNZ, qui vous donne le taux d’UV en temps réel, ce qui est très pratique.
Il faut savoir que le niveau d’UV se mesure de 0 à 16, 16 étant le niveau maximum. Au dessus de 3, il faut se protéger car on peut brûler. Le temps d’exposition avant de brûler augmente en fonction du taux : à 3 c’est lent, à 16 quelques minutes à peine suffisent. Pour vous permettre de réaliser l’ampleur du souci, en Belgique le niveau UV oscille la majeur partie de l’année entre 0 et 3, et ne dépasse que très rarement 5-6 (en été). En Nouvelle-Zélande, on commencait souvent le matin avec 6-8, avec des pics l’après-midi à 13-14, sur base quasi quotidienne, même quand le ciel était un peu couvert ! Vous imaginez bien que votre peau n’est pas habituée à ça.
Une protection de minimum 50 est fortement recommandée. Impossible de mettre de la crème 30, on brûlait quand même. Celui qui résistait le mieux était notre Biosolis 50+ Sport (il est très blanc donc pas l’idéal, mais il faut choisir…). Si c’était à refaire, on prendrait une crème 70 (oui, ça existe – celui-ci de Neutrogena par exemple) pour les randonnées de l’après-midi.
Mon itinéraire de 5 semaines en Nouvelle-Zélande
Voici donc le récapitulatif complet de notre itinéraire de 5 semaines en Nouvelle-Zélande. Vous y retrouverez aussi les liens vers les articles détaillés consacrés à chaque étape de ce voyage.
Cet article est un résumé chronologique, jour par jour. J’ai également écrit 2 articles détaillés sur l’île du Nord et sur l’île du Sud avec un résumé des choses à voir par région / destination. Ils sont donc complémentaires. Vous pouvez les lire ici :
- Que faire sur l’île du Nord de Nouvelle-Zélande en 2 semaines ?
- Que faire sur l’île du Sud de Nouvelle-Zélande en 2 ou 3 semaines ?
J’ai aussi consacré un article aux différents lieux de tournage du Seigneur des Anneaux / Hobbit que nous avons visité lors du voyage, avis aux amateurs : Visiter les lieux de tournage du Seigneur des Anneaux en Nouvelle-Zélande
Jours 1 et 2 : Belgique – Hong Kong
Pour l’aller, on avait choisi un vol avec une longue escale à Hong Kong, qui nous laissait toute une journée à Hong Kong avant de poursuivre à Auckland, pour éviter d’enchaîner deux longs courriers, mais aussi pour en profiter pour découvrir Hong Kong. Sauf que, on est tombé en plein dans la période des riots (et, mais on ne le savait pas encore, du début du covid…).
Bref, on a finalement pas pris de risque et on a choisi de prendre un hôtel à l’aéroport où on est resté toute la journée : le Regal Airport Hotel Hong Kong. Au final, ce fut un super bon choix car ça nous a permis de faire une vraie « nuit » de sommeil entre les deux vols, suivie par un massage avant d’embarquer. Je crois que ça nous a bien aidé à gérer le décallage une fois sur place !
Mon article sur cet hôtel pratique : Regal Airport Hotel Hong Kong : une escale relaxante à Hong Kong
Jour 3 : arrivée à Auckland
C’était déjà le J+2 par rapport à notre jour de départ depuis la Belgique quand nous sommes enfin arrivés à Auckland !
Nous n’avons pas récupéré la voiture toute suite, pour nous laisser de la flexibilité en cas de souci avec un des vols, et pour ne pas devoir conduire en étant totalement décallé. A la place, on a récupéré une carte SIM à l’aéroport et commandé un Uber avec notre téléphone pour nous rendre directement à notre hôtel.
On est arrivés vers midi puis on a dormi quelques heures, avant de passer la fin de journée à explorer le quartier où on logeait, Ponsonby.
Hébergement : 2 nuits à Auckland au Ponsonby Manor (une guest house confortable dans un quartier tendance avec plein de bonnes adresses)
Jour 4 : excursion à Waiheke Island
Le lendemain, nous avons passé la majeure partie de la journée sur l’île de Waiheke, accessible en ferry depuis Auckland. Sur place, on s’est déplacé en vélo pour découvrir les plus belles plages et quelques uns des nombreux vignobles de cette petite île paradisiaque.
Mon article sur Waiheke Island : Une journée sur Waiheke Island : notre itinéraire en vélo électrique
Jour 5 : Auckland – Tutukaka
On a récupéré la voiture de location dans le bureau Ace du centre d’Auckland, puis on a passé la matinée à explorer quelques quartiers en voiture, avec notamment une belle balade au Mont Eden et un « brunch » à Newmarket chez Best Ugly Bagels.
Mon article sur Auckland : Que faire à Auckland et dans les environs ?
Ensuite, on a quitté Auckland en direction de la région du Northland et fait une première étape dans la région de Whangarei. On a fait la randonnée de Smugglers Cove Track (5 km), conduit sur une route panoramique jusqu’à Ocean Beach, et fait un tour au chutes d’eau Whangerei Falls.
Mon article sur Whangarei : Que faire autour de Whangarei dans le Northland ?
On est arrivé en fin de journée sur la côte de Tutukaka et on a profité de notre charmant hébergement pour se relaxer un peu (on avait fait des courses donc on a mangé un petit « pique-nique » sur place).
Hébergement : 1 nuit à The Light House Lookout (B&B coup de coeur, avec vue imprenable sur la côte. On a logé dans leur cabane avec bain extérieur privé, dingue)
Jour 6 : Tutukaka – Bay of Islands
Le matin, nous avons exploré la côte de Tutukaka avec une randonnée entre Matapouri et Whale Bay.
Mon article détaillé : La côte de Tutukaka et ses plages
Puis on a pris la route en direction de la Bay of Islands avec un arrêt à la Oakura Bay, où nous avons mangé un excellent fish & chips chez Skips Fish N Chips.
On avait ensuite prévu de faire une petite rando dans la Péninsule de Whangaruru, mais on galérait avec nos coups de soleil pris le premier jour (avant de capter que les UV en Nouvelle-Zélande, ça rigolait pas) et on a donc décidé de zapper la rando, en se contentant d’une balade près de la Puriri Bay et à la Bland Bay.
Ensuite, on est arrivé à la Bay of Islands. Nous nous sommes arrêtés pour une dégustation de vins à la Omata Estate Winery avant de poser nos valises à Russell pour la nuit.
Hébergement : 1 nuit à Russell dans le plus vieil hôtel de Nouvelle-Zélande, le Duke of Marlbourough. Charmant à tous points de vue ! On a aussi mangé à l’hôtel le soir, en terrasse avec vue sur le coucher de soleil… Vraiment un gros coup de coeur pour cet endroit et pour le petit village de Russell de manière générale !
Jour 7 : Bay of Islands – Forêt de Waipoua
Le matin, après un petit-déjeuner à Paihia chez Alfresco, nous avions réservé un tour en hélicoptère pour admirer les nombreuses îles de la Bay of Islands depuis le ciel. Un moment magique, on a eu énormément de chance avec la météo ! Si vous n’avez pas le budget, les tours en bateau sont (un peu) plus abordables.
Puis, direction la Kerikeri Mission Station (site historique) et les Rainbow Falls.
Mon article sur la Bay of Islands : Visiter la Bay of Islands, une destination paradisiaque en Nouvelle-Zélande
Ensuite, nous avons continué vers le nord jusqu’à la Péninsule de Mahinepua, une sorte de petite Bay of Islands, moins connue. On y a fait une randonnée qu’on ne risque pas d’oublier (je me suis dépassée mais j’ai eu très peur !) jusqu’au St Paul’s Rock. Au moins, la vue en valait la peine !
On est arrivé en fin d’après-midi à la forêt de Waipoua, où nous allions passer les deux nuits suivantes. Pour se remettre de nos émotions, on avait fait des courses en chemin pour se faire un BBQ de dingue à notre logement.
On s’est finalement motivés pour réserver une visite guidée nocturne pour essayer de voir des kiwis. Premier essai infructueux… mais on avait pas dit notre dernier mot !
Hébergement : 2 nuits à la Highfield Forest Retreat (Canopy Camping), un hébergement glamping de luxe et un des endroits les plus dingues où on a logé. Alternative moins chère : le Kauri Coast TOP 10 Holiday Park (avec qui on a fait la visite guidée nocturne).
Jour 8 : la forêt de Waipoua
Le matin, on a fait les quelques petites balades autorisées dans la forêt de Waipoua pour voir les plus grands et vieux kauris (arbres géants).
Après être repassés manger au logement, l’aprem, on a été faire une balade autour des Kai Iwi Lakes, superbe également !
Et pour finir en beauté cette journée, on est retourné le soir au même endroit pour essayer de voir des kiwis, mais cette fois-ci sans guide et… le deuxième essai fut le bon, on en a vu un ! Un de nos moments les plus funs et inoubliables du voyage (toute l’histoire dans mon article détaillé).
Mon article sur la Forêt de Waipoua : Deux jours de rêve dans la forêt de Waipoua : kiwis, kauris & glamping
Jour 9 : Waipoua Forest – Coromandel
Assez longue journée de route entre la forêt de Waipoua et la Péninsule de Coromandel. Au final, on a quasi passé la journée sur la route car c’est ce jour-là que notre batterie a laché (voir en début d’article pour l’histoire).
Notre seul arrêt sur la route fut donc la colonie de fous de bassan de Muriwai (on avait à la base pensé passer également par la plage de Piha).
Nous avons ensuite pris la route côtière (à couper le souffle) depuis Thames jusqu’à Coromandel Town, près d’où nous logions. Comme tout ferme tôt ici, on s’est pris un fish & chips chez Coromandel Takeaways qu’on a mangé sur notre terrasse.
Hébergement : 2 nuits aux Pohutukawa Coastal Chalets, chalets cosy avec vue proches de la ville de Coromandel.
Jour 10 : la Péninsule de Coromandel
Journée d’exploration de la Péninsule de Coromandel (partie nord-ouest). On a commencé la journée par un tour assez insolite à la Driving Creek Railway, un petit chemin de fer de montagne créé par un passionné, puis on a mangé chez la Coromandel Oyster Company.
Après un détour jusqu’aux Waiau Falls, on a conduit sur la petite route scénique qui mène tout au nord de la péninsule, à Port Jackson. A la fin du chemin, on a fait le début de la randonnée Coromandel Coastal Walkway.
On a fini la journée avec un repas au Star & Garter, un des pubs historiques de Nouvelle-Zélande.
Mon article sur Coromandel : Que faire dans la Péninsule de Coromandel ?
Jour 11 : Coromandel – Hamilton
Nous avons pris la Route 25 jusqu’à Cathedral Cove, une des plages les plus connues de Nouvelle-Zélande (accessible uniquement à la marche quand les bateaux ne partent pas comme ce fut le cas ce jour-là).
Vu la météo, on a zappé la Hot Water Beach pour aller manger des pizzas et faire une dégustation de vin au vignoble Mercury Bay Estate.
On a ensuite suivi la Route 25 jusqu’à la région de Waihi, au sud, une région minière toujours en activité (on y trouve toujours une mine d’or qu’il est possible de visiter). Après un arrêt en ville et aux Owhaora Falls, on a fait une super balade insolite sur un ancien site minier (on peut même entrer seuls dans les anciens tunnels de la mine !) : le Karangahake Gorge Windows Walk.
Hébergement : 1 nuit à Underhill Valley (Canopy Camping) près de Hamilton, où on a dormi dans une « maison de Hobbit » !
Jour 12 : Hobbiton – Rotorua
Le matin, on a visité le village d’Hobbiton, où ont été tournés les films du Seigneur des Anneaux et du Hobbit. Une visite bien organisée et très intéressante, à réserver à l’avance.
Mon article sur Hobbiton : Mon guide pratique pour visiter Hobbiton (et dormir dans une maison de Hobbit)
Le midi, on a mangé les meilleurs pies à la Gold Star Bakery. Puis on a consacré l’après-midi à la visite de la ville de Rotorua, le centre géothermique de l’île du Nord, où nous passions la nuit. On a d’abord fait un tour en ville en passant par le Kuirau Park, le village maori de Ohinemutu et les Government Gardens. Puis on a pris la voiture jusqu’à la Redwood Forest, la forêt de séquoias géants.
Le soir, on avait réservé la Te Puia Night Cultural Experience. On a eu droit à un spectacle de danseFs maories avant de partager un hangi (repas maori traditionnel) et d’observer de nuit le Pohutu Geyser, le plus grand geyser actif de l’hémisphère sud. Une soirée touristique mais néanmoins très sympathique !
Hébergement : 1 nuit à Rotorua au Prince’s Gate Hotel, un hôtel historique central
Mon article sur Rotorua : Que faire à Rotorua ? Sites géothermiques et culture maorie
Jour 13 : Rotorua – Taupo
Nous avons consacré cette journée à la visite de différents sites situés dans la vallée géothermique qui s’étend entre Rotorua et le lac Taupo, où se trouvent différentes zones de sources chaudes, geysers, etc.
Le matin, nous avons visité la Waimangu Thermal Valley (peu fréquentée mais très chouette balade) puis le site le plus connu, Wai-O-Tapu.
Nous nous sommes ensuite baigné aux sources chaudes naturelles aux Waikite Thermal Hot Pools, où nous avons aussi mangé.
On a fini la journée avec ma visite préférée, le spectaculaire site Orakei Korako Geothermal Park, près de Taupo.
Arrêt rapide aux Huka Falls et, le soir, repas à Taupo à la Lakehouse Brewery.
Hébergement : 2 nuits à Taupo à la Te Tuhi Hut (Canopy Camping)
Jour 14 : Taupo – Tongariro
Ce jour-là était resté un peu en suspens pendant longtemps puisqu’il dépendait beaucoup de la météo… Tongariro Alpine Crossing ? Tour en hélico ? Finalement, on a rien su faire de tout ça car il n’a pas arrêté de pleuvoir !
On a tout de même pu prendre un high tea au Chateau Tongariro et fait un petit tour jusqu’au Tawhai Falls (Gollum’s Pool) avant de se résoudre à rentrer sur Taupo (mais c’était pour ça qu’on avait choisi de loger là, pour avoir une solution facile de repli).
Nous avons bravé la pluie pour aller voir les Craters of the Moon, un autre site géothermique de Taupo (et avec cette météo, ça avait clairement son charme), puis on a été se réchauffer aux Wairakei Terraces Thermal Pools. On avait une croisière sur le lac de prévue en fin de journée mais elle a évidemment aussi été annulée. On a donc cocooné à notre logement, où on a aussi mangé.
Mon article sur Taupo : Visiter le Lac Taupo et le parc géothermique d’Orakei Korako
Jour 15 : Taupo – Napier
Tentative numéro 2 pour faire un tour en hélico au Tongariro… encore raté ! Et pourtant, il y avait un grand soleil cette fois, mais les conditions météo n’étaient pas assez bonnes pour voler.
On a quand même fait quelques arrêts dans le parc, notamment la station de ski de Whakapapa (superbes vues) et une petite rando depuis le Whakapapa Village.
Mon article détaillé : Visiter le Parc National du Tongariro… sans faire l’Alpine Crossing
On a ensuite pris la route vers Napier et la Hawke’s Bay. Le midi, on a mangé aux Craggy Range Vineyards, un des nombreux vignobles de la région, avant d’aller profiter de la vue juste à côté, au Te Mata Peak.
Après un petit arrêt à Hastings, on a passé le reste de la journée à Napier, pour profiter de son centre Art Déco classé à l’UNESCO.
Hébergement : 1 nuit au County Hotel (hôtel Art Déco dans le centre de Napier), où on a aussi mangé le soir.
Mon article sur Napier : Visiter Napier, la ville Art Déco de Nouvelle-Zélande
Jour 16 : Napier – Wellington
Le matin, on a fait une visite guidée de Napier en vieille voiture, avant de prendre la route en direction de Wellington.
En chemin, nous nous sommes arrêtés à la TUI Brewery, au Kaitoke National Park et aux « Gardens of Isengard » (Harcourt Park). Les deux derniers sont des lieux de tournage du Seigneur des Anneaux.
On a passé le reste de la journée à Wellington, où nous passions la nuit. Balade en ville, microbrasserie, resto et petit ciné… Vous retrouverez tous nos arrêts dans mon article détaillé.
Hébergement : 1 nuit à Wellington
Après 2 semaines sur l’île du Nord et une dernière matinée à Wellington (avec visite du jardin botanique, Weta Workshop et repas chez Little Penang), nous prenons le ferry depuis Wellington en début d’après-midi pour continuer sur l’île du Sud. Nous arrivons à Picton, porte d’entrée des Marlborough Sounds (un région de fjords aux paysages paradisiaques).
Les ferrys en pratique : pour le ferry vous avez le choix entre Bluebridge (via Klook pour l’annulation gratuite) et Interislander (via GetYourGuide pour l’annulation gratuite). On a fait le premier à l’aller et le second au retour. Interislander est un peu plus moderne et offre plus de place à l’extérieur, mais globalement je vous conseille simplement de choisir celui avec l’horaire qui vous arrange le mieux !
Une fois à Picton, nous sommes partis directement vers notre B&B pour faire une petite pause avant d’aller manger des moules chez Captain’s Daughter à Havelock.
Hébergement : 1 nuit au Moana Haven B&B (ex – Kiwiss B&B) près de Havelock
Jour 18 : Havelock – Nelson
Nous avons consacré une bonne partie de la journée à la route du French Pass, une route scénique des Marlborough Sounds.
On a ensuite passé la soirée (de réveillon de Noël) sur un yacht à Nelson avec notre hôte francophile qui avait cuisiné pour nous !
Hébergement : 1 nuit à Nelson
Mon article : Visiter les Marlborough Sounds et Nelson en Nouvelle-Zélande
Jour 19 : Nelson – Golden Bay
Jour de Noël oblige, on a reporté la visite de Nelson à plus tard car tout était fermé. On a donc roulé jusqu’à la Golden Bay (notre base suivante), où nous avons passé la journée.
On a fait une randonnée du Cape Farewell à Pillar Point, une balade sur la plage de Wharakiri (on a vu plein d’otaries à fourrure de près, c’était génial) et fait un tour aux lacs de Kaihoka.
Hébergement : 2 nuits à Takaka dans un charmant hébergement insolite tenu par des anversois (encore plus insolite !), The Caboose (voir les tarifs actuels).
Mon article : Visiter la Golden Bay en Nouvelle-Zélande : notre itinéraire
Jour 20 : le parc national d’Abel Tasman
On a consacré cette journée à la visite du parc national d’Abel Tasman, principalement accessible en bateau. On a fait un tour avec Abel Tasman Sea Shuttles, qui nous permis de faire une partie de la randonnée de plusieurs jours (une des plus connues de l’île) Abel Tasman Coastal Track (on vous dépose à un point A et on vient vous rechercher à un point B, super pratique).
Mon article : Visiter le Parc National d’Abel Tasman en Nouvelle-Zélande : petit guide pratique
Au retour du parc, on s’est arrêté pour une mini rando à The Grove, puis on a été voir les sources sacrées de Te Waikoropupu (plus grandes sources d’eau douce de Nouvelle-Zélande) puis manger à The Mussel Inn.
Jour 21 : Golden Bay – Kumara
Après avoir quitté la Golden Bay, nous sommes retournés à Nelson pour une petite balade dans la ville (Christ Church, Queens Garden…) et un arrêt à la McCashin’s Brewery.
Après un autre arrêt gourmand chez Nelson Honey, on a commencé à descrendre la West Coast. On s’est arrêté à la colonie d’otaries à fourrure de Tauranga Bay, puis aux Pancake Rocks, avant d’arriver à notre destination pour la nuit : l’ancienne boom town de Kumara.
En fin de soirée, on a été voir les vers luisants de la Hokitika Glow Dell (un des seuls endroits où on peut en voir facilement et gratuitement).
Hébergement : 1 nuit au Theatre Royal Hotel à Kumara, dans une chambre historique dingue ! Un des meilleurs rapport qualité-prix du voyage. On a mangé au pub de l’hôtel, très sympa également.
Jour 22 : Kumara – Franz Josef & Fox Glaciers
Après une charmante balade sur un ancien site minier sur la Tunnel Terrace Walk, nous avons continué vers les Franz Josef et le Fox Glaciers, les deux glaciers « star » des Alpes du Sud. Avec le recul des glaciers, la seule manière d’encore bien les voir est de faire un vol en hélico ou en petit avion. Notre première tentative de vol en hélicoptère au Franz Josef a été un échec et a du être annulée à cause du vent (on est toujours remboursé en cas d’annulation à cause de la météo, quelle que soit la compagnie).
En faisant le tour du village, on a trouvé un vol Air Safari en petit avion qui partait quand même pour le grand tour des glaciers et des Alpes. Le temps de partir, la météo avait encore changé et on a juste pu, difficilement (ça bougeait bien) voir le Franz Josef Glacier. Ils nous ont remboursé une grosse partie, donc ça valait quand même la peine.
Vu qu’il pleuvait à présent, on a été se baigner aux Franz Josef Glacier Hot Pools, mais c’était vraiment bof (sources chaudes les moins sympas qu’on a fait du voyage, trop de monde et trop petit, sans aucune vue).
On a fini la journée au village de Fox Glacier (où on logeait) où on a mangé un repas tout aussi bof au Cook Saddle Cafe & Saloon.
Mon article : Roadtrip sur la West Coast et glaciers de Fox & Franz Josef
Hébergement : 1 nuit au village du Fox Glacier (un peu moins touristique que celui du Franz Josef) – ces 2 villages sont à réserver bien bien à l’avance.
Jour 23 : Fox Glacier – Wanaka
La troisième tentative fut la bonne : on a enfin pu faire un tour en hélico depuis le village de Fox Glacier, avec atterrissage sur la glace sur le Fox Glacier. Trop court mais une expérience tout de même unique.
Après un tour au Lake Matheson pour profiter de la vue, on a continué à descendre la West Coast jusqu’à Ship Creek (avec un arrêt « whitebait » juste avant sur un foodtruck le long de la route).
A Ship Creek, on a fait les petits balades dans les dunes et les marécages, avant de quitter la côte et d’emprunter le Haast Pass en direction de Wanaka.
Cette route de montagne est parsemée de petites chutes d’eau accessibles à chaque fois en quelques minutes de marche (Roaring Billy Falls, Thunder Creek Falls, Fantail Falls…).
La route entre le Haast Pass et Wanaka le long des lacs est l’une des plus belles qu’on a vu du voyage.
Fin de journée à Wanaka, où nous avons mangé face au lac au Bombay Palace.
Hébergement : 1 nuit à Wanaka
Super votre blog !
Mais vous ne parlez pas des sandflies !
Pas rencontré ? Et si oui, comment avez vous géré ?
Merci
Bonjour,
Non, on a pas eu de problèmes avec les sandflies ! Je ne sais pas si c’est parce qu’il y en a pas en NZ ou si ce n’était pas la saison peut-être (on est parti en décembre-janvier) ;-)
Bonjour, sauriez vous nous indiquer un budget pour ces 5 semaines de raodtrip ?
Merci
Bonjour,
C’est difficile de répondre car les prix ont bien augmenté depuis la pandémie ! Donc je ne pense pas que ça vous donnera une bonne approximation. Je pense qu’on était hors vols à un peu plus de 1000€ par semaine par personne, en 2019-2020.
Bonjour, merci pour ce bel article. Il est très détaillé et va vraiment m’aider pour mon voyage en Juin !
Avec plaisir, bon voyage !
Bonjour,
D’où êtes vous partis en Belgique?
Quel aéroport de départ en Belgique (voir Pays-Bas ou Allemagne) conseilleriez vous pour atterrir à Wellington?
Nous aimerions atterrir à Wellington et remonter vers Auckland.
Merci.
Bonjour,
Nous avons fait un aller-retour Bruxelles-Hong Kong-Auckland. Il n’y a pas de vol direct évidemment, mais je pense que les meilleures correspondances seront depuis Bruxelles, Amsterdam ou Francfort. Si vous comptez faire un aller simple (arriver à Wellington et repartir d’Auckland), attention aux prix car ça risque d’être plus cher à la fois pour l’avion et la voiture de location.
Bons préparatifs !