Ma première expérience en hydravion au Québec (Air Mont-Laurier)

Après une première étape dans les Hautes-Laurentides au Rabaska Lodge, nous avons pris la direction de Mont-Tremblant. En chemin, nous nous sommes arrêtés pour faire une activité que nous attentions beaucoup… Après avoir découvert le Réservoir Baskatong en bateau, nous allions découvrir le Réservoir Kiamika… en hydravion !

Disclaimer : cette étape de notre voyage sur la Route des Explorateurs a été réalisée avec l’aide de Tourisme Laurentides et Air Transat. Mon opinion reste, comme d’habitude, entièrement indépendante.

Notre première expérience en hydravion

C’était une première expérience en hydravion pour nous et on a adoré : c’est l’une des activités à ne pas manquer selon moi au Québec, qui peut se réaliser dans plein d’endroits différents. L’hydravion permet vraiment de se rendre compte de l’immensité de la nature québécoise et de profiter pleinement de ces beaux paysages, en les découvrant sous un autre angle.

Notre expérience avec Air Mont-Laurier

Le vol que nous avons effectué a duré 20 minutes, ce qui est déjà pas mal pour une première expérience. Nous avons volé avec Air Mont-Laurier, dont l’activité première n’est pas de faire de simples vols d’initiation comme nous l’avons fait, mais bien du transport aérien de personnes vers des régions difficiles d’accès par la route, ce qui ne manque pas au Québec et au Canada de manière générale. Air Mont-Laurier propose par exemple un transport vers des pourvoiries non accessibles par la route.

Le Réservoir Kiamika vu d’en haut

En ce qui nous concerne, c’est le Réservoir Kiamika que nous avons découvert lors de ce premier vol en hydravion que nous ne sommes pas près d’oublier. Nous sommes partis depuis la base de Air Mont-Laurier à Rivière-Rouge, face au lac Tibériade. Nous avons pu voir deux autres hydravions se poser en attendant notre vol, ce qui nous a pas mal rassurés car l’atterrissage (ou plutôt amerrissage) semblait très calme. Et en fait, on ne sent quasi rien ! Le fait de décoller et atterrir sur l’eau amortit beaucoup les « chocs » possibles. J’ai trouvé que voler en hydravion était en fait très agréable, très doux.

En plus, comme on vole assez bas, on en prend vraiment plein les yeux. Nous avons survolé l’ensemble du Réservoir Kiamika, et avec le grand soleil qu’il faisait ce jour-là, ce fut d’une beauté suprême. Nous avons survolé pendant 20 minutes des immenses forêts, et cet énorme lac parsemé de petites îles. C’est un des plus beaux paysages que j’ai pu voir !

Le réservoir Kiamika s’étend sur plus de 52 km carrés et a, comme pour le réservoir Baskatong, été à l’origine construit pour contrôler des crues, ici les crues des rivières du Lièvre et des Outaouais. Le barrage créé en 1952 a permis de produire de l’électricité dans la région mais a aussi facilité la drave sur la rivière Kiamika.

Aujourd’hui, le réservoir Kiamika est au cœur du Parc régional du réservoir Kiamika, qui s’étend sur plus de 184 km carrés. Le parc comprend au total une dizaine de lacs et plus de 40 îles. On peut bien sur y pratiquer différentes activités (canot, randonnée, pêche,…).

Bref, ce survol fut encore plus beau que ce que j’imaginais…

Prochaine étape : Mont-Tremblant, une autre étape que nous attendions beaucoup !

 

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